"Les champs de blé ne me rappellent rien et ça c'est triste ! Mais tu as des cheveux couleur d'or. Alors ce sera merveilleux quand tu m'auras apprivoisé ! Le blé qui est doré me fera souvenir de toi. Et j'aimerai le bruit du vent dans le blé... Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince : - S'il te plaît... apprivoise-moi, dit-il. [...] Ainsi le petit prince apprivoisa le renard. Et quand l'heure de départ fut proche : - Ah ! dit le renard... Je pleurerai."
"Les champs de blé ne me rappellent rien et ça c'est triste ! Mais tu as des cheveux couleur d'or. Alors ce sera merveilleux quand tu m'auras apprivoisé ! Le blé qui est doré me fera souvenir de toi. Et j'aimerai le bruit du vent dans le blé...
RépondreSupprimerLe renard se tut et regarda longtemps le petit prince :
- S'il te plaît... apprivoise-moi, dit-il. [...]
Ainsi le petit prince apprivoisa le renard. Et quand l'heure de départ fut proche :
- Ah ! dit le renard... Je pleurerai."